Plantes et espèces exotiques envahissantes

Signalement d'une espèce exotique envahissantes

Remplir ce formulaire pour nous aviser de la présence d'une espèce exotique envahissante.

  • Si vous avez coché l'option "Autre" à la question précédente, précisez ici de quelle espèce il s'agit.
  • Vous pouvez obtenir cette information sur Google Map. En cliquant sur la position où vous avez observé l'espèce, Google affiche, dans le bas, les coordonnées géographiques.
  • L'espèce se trouve sur un terrain privé ou sur un terrain public (ex. fossé de rue, parc municipal, etc.)
  • Indiquer le plus de détail possible comme l’adresse civique la plus près, la distance d’une intersection, l’orientation, etc. Ex. Dans le fossé à environ 100m de l’entrée du 160 ch. George-Bonnallie en allant vers Bonsecours.
  • Si vous avez pris des photos, vous pouvez nous les envoyer.
    Taille max. des fichiers : 256 MB.
  • Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.

Des colonies mères de la Berce du Caucase ont été répertoriées à plusieurs endroits sur le territoire de la municipalité. Elles représentent des superficies très importantes et un risque sérieux pour la santé et l’environnement.

S.V.P., soyez vigilants et ne tentez pas de l’arracher ou simplement d’y toucher lorsque vous apercevez une colonie. La Berce du Caucase est très envahissante, peut causer des lésions cutanées semblables à des brûlures, colonise rapidement divers milieux, nuit à la croissance des plantes indigènes et entraîne une perte de la biodiversité.

Toutefois, nous comptons sur votre collaboration pour éradiquer les quelques plants présents sur votre propriété privée en prenant les mesures de protection adéquates pour vous protéger lors de l’arrachage manuel ou mécanique (consulter les fiches du Ministère du Développement durable et des Parcs ci-bas.)

De plus, si vous apercevez la Berce du Caucase, prière de nous informer le plus rapidement possible au 450-297-3440. Vous pouvez également remplir le formulaire en ligne ou venir le remplir directement à la municipalité pour nous en faire la description complète.

Formulaire pour le signalement de la Berce du Caucase dans la municipalité

Berce du Caucase et Renouée japonaise

Dépliant sur la Berce du Caucase

Voici les informations importantes sur la Renouée du Japon.

Capsule sur la Renouée du Japon

Dépliant sur la Renouée du Japon

Voici les informations importantes sur le phragmite commun.

Capsule sur le roseau commun

Dépliant sur le roseau commun

Herbe à poux et herbe à la puce : comment en faire la différence ?

Voici un petit aide-mémoire pour faire la différence entre l’herbe à poux et l’herbe à la puce.

Aide-mémoire

Voici un article sur l’agrile du frêne.

Agrile du frêne

Bernaches

Les bernaches ou communément appelées « outardes », comme les canards et autres animaux sauvages, ne doivent pas être nourris, car cela peut nuire à l’environnement, à notre habitat, à la santé de ces animaux et modifier leur comportement.

Dans la municipalité, des panneaux avisent, à certains endroits fréquentés, comme tous les parcs riverains, de ne pas les nourrir. La municipalité procèdera également à l’installation de filets aux abords des plages de certains parcs afin d’éviter que les bernaches ne parviennent à y nicher et qu’elles s’y installent pour la saison et
celles à venir.

Ne pas nourrir les oiseaux pour leur bien-être
Ils pourraient souffrir de problèmes diététiques et de problèmes de nutrition. Il vaut mieux que les oiseaux constituent leurs réserves en se déplaçant d’un lieu à l’autre à la recherche d’un régime alimentaire naturel et sain. Le pain peut se coller dans leur gorge et les empêcher de déglutir. Le pain leur cause aussi des douleurs digestives car elles sont herbivores. En devenant moins farouches, ils sont plus vulnérables au danger et peuvent également développer des comportements agressifs s’ils sont habitués à être nourris par l’homme.

Ne pas nourrir les oiseaux, un avantage pour la sécurité humaine
Les oiseaux deviennent plus agressifs et développent un esprit de compétition entre eux au fur et à mesure que les populations se concentrent. Cela peut poser des risques pour la sécurité humaine. Ils doivent aussi survivre dans un monde plein de dangers (les chiens, les chats, les voitures et les humains). Il y a donc des risques pour la sécurité humaine. Le surpeuplement dans un secteur restreint peut entraîner la dégradation de l’habitat – le surpâturage peut endommager les zones herbeuses en plus de favoriser une concentration plus élevée de la bactérie E. Coli.

La bernache du Canada en milieu urbain
Saviez-vous qu’une bernache du Canada adulte mange jusqu’à 1,8 kg (4 lb) d’herbe par jour et libère jusqu’à 0,9 kg (2 lb) de matières fécales quotidiennement ? Il ne suffit que de quelques minutes pour constater que la piste cyclable ou les bordures de lacs en sont jonchés.
Les parcs et les pelouses qui longent les étangs ou les plans d’eau constituent un habitat idéal où les bernaches du Canada peuvent paître. Lorsque les bernaches du Canada parviennent à nicher dans un endroit, elles reviennent généralement au même site de nidification année après année tout comme leurs petits. Si elles ne sont pas contrôlées, les populations de bernaches dans les zones urbaines pourraient doubler en quelques années. Les bernaches du Canada pondent d’ordinaire de trois à six oeufs par année et leur durée de vie peut atteindre 24 ans.
Les bernaches du Canada s’adaptent remarquablement bien – on les a observées nichant dans les arbres, les fossés en bordure de la route, à proximité des piscines et même sur des toits plats.

Pour en savoir plus, consultez le manuel traitant des bernaches par Environnement Canada. Lien : www.t.ly/5aSW

 

*Selon les informations de la ville de Salaberry-de-Valleyfield